Avec sa disparition se tourne une page de la vie politique vierzonnaise.
Pas seulement politique, économique aussi. Humaine également.
A l’inverse des éternelles et,
pour beaucoup, hypocrites louanges, si habituelles, je ne vais pas dire
aujourd’hui qu’il était mon mentor, une source inspiration, un phare dans la nuit.
Non. Juste un homme que j’ai rencontré quelquefois, avec lequel je partageais de
nombreuses valeurs, plus rarement la manière de les mettre en œuvre. Mais,
autres temps, autres mœurs.
En mémoire, j’ai notre dernière
discussion, sans doute la plus longue, au cours duquel nous avions discuté de
la politique vierzonnaise. Peu. Beaucoup plus de sa foi, de notre foi. Et de
son pèlerinage à St-Jacques-de-Compostelle, un pèlerinage que j’avais commencé
comme lui mais que j’avais arrêté, faute de temps. Un pèlerinage que je
souhaiterai faire un jour d’une seule traite, aller et retour compris, en
passant par Vézelay et Le-Puy-en-Velay, avec retour par Limoges. Je penserai à
lui à cette occasion, posant moi aussi une ou plusieurs pierres sur l’une des
nombreuses croix du chemin.
Max ALBIZZATI est parti écrire une autre page de sa vie ailleurs.
Salutations respectueuses.
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