jeudi 8 octobre 2015

L’HÉCATOMBE

Les entreprises et l'emploi tombent comme à Gravelotte à Vierzon
Il ne se passe pas un jour sans que Vierzon et son bassin d’emplois annoncent une mauvaise nouvelle. En moins d’un mois, FAURECIA, à Theillay, à 10 Km de Vierzon, annonce la suppression de 92 emplois, EGI annonce son transfert à Vitrolles, laissant sur le carreau 30 personnes, sans oublier les 45 précédemment partis, et DUPUIS TP sa mise en redressement judiciaire, prélude à une éventuelle liquidation ( ?), avec ses 24 emplois. Et je passe sur la multitude d’artisans et de commerçants, avec ou sans salarié, qui ont disparu cette année ou qui s’apprêtent à le faire sous peu, victimes du manque d’activité, des charges, de clients indélicats, de la passivité des pouvoirs publics, ... Autre information : le garage poids-lourds ne se fera pas. Le candidat retenu n’a pas les prêts, les machines, les... Et dire qu’à l’époque la Communauté de Communes de Vierzon-Sologne-Berry l’avait privilégié face à un groupe international sous le simple prétexte qu’il est de Vierzon. Au final, Vierzon n’aura rien ! Si : un local vide payé avec nos impôts. Au moins, les gens du voyage ou les organisateurs de rave-party sauront où aller... J’en ris. Jaune...
 
Et que fais la Communauté de Communes de Vierzon-Sologne-Berry ? La Mairie de Vierzon ? Rien... Si : on inaugure un bowling (4 emplois créés ?), une station de traitement des eaux, l’arrivée d’une locataire dans la pépinière d’entreprises et on annonce un possible mariage avec Bourges. A part ça, tout va très bien Madame la Marquise...

dimanche 4 octobre 2015

CONCOURS DE CIRCONSTANCES

Il y a des concours de circonstances que les politiques et la presse devraient éviter... Les deux me diront qu’ils ne pouvaient pas le prévoir, soit. Mais, pour la presse, lors de l’édition, relisez-vous et posez-vous la question de la pertinence de vos parutions. Ainsi, cette semaine, le 2 octobre précisément, dans le Berry Républicain, le président de la communauté de communes Vierzon Sologne Berry s’enorgueillissait de l’arrivée d’une entreprise de conciergerie d’entreprises, en création, et de son seul et unique emploi sur plus de la moitié de la page. Sur la page suivante, dans un article deux fois plus petit, l’équipementier FAURECIA annonçait la suppression de 92 emplois à moins de 10 Km de Vierzon, employant beaucoup de vierzonnais, avec la complicité implicite de la communauté de communes de Vierzon, dont les choix d’investissement économique sont de plus en plus sujet à caution. Je ne vais pas vous rappeler le départ prochain d’EGI Europe et de ses 75 emplois, enfin, sous la gestion de Jean-Luc VALLET, aujourd’hui avec moins de la moitié. Ni les quelques entreprises employant plus de dix salariés sur la ville promises à la cessation d’activité dans les six mois à venir (je ne suis plus élu mais je pense ne pas être si mal informé que cela, malheureusement pas par la presse, sans compter ce qui est prévisible –statistiques économiques et démographiques obligent). L’idéal aurait été de repousser l’un des deux articles de quelques jours...

jeudi 27 août 2015

BILANS

La presse offre parfois d’intéressants concours de circonstances. Ainsi, l’édition du Berry Républicain de ce 27 août 2015 nous donnent deux bilans : celui des rousseauistes sur l’action de la municipalité communo-socialiste pour ce premier semestre et celui du maire adjoint à la culture sur les Estivales de cette année.
 

JR à NE : "Je suis ton père..."
Pour les premiers, “le programme des Estivales est très pauvre et n’a pas donné un caractère particulier à notre ville”... M’ouais... Pas plus ou moins que d’habitude. Les goûts et les couleurs... L’héritière de Jean ROUSSEAU a enchainé comme quoi “les endroits les plus importants dans la ville ne sont pas bien entretenus”. D’une part, ce propos est insultant pour le personnel municipal, qui fait ce qu’on lui demande de faire comme on lui demande de le faire, d’autre part il sous-entend que les “endroits importants de la ville”, qui restent à définir, doivent être mieux entretenus que les autres. Sympa pour les autres... Le pire est sa conclusion : “les herbes ont poussé depuis l’abandon du désherbage chimique” ! Si l’épouse du docteur ESSAYAN veut participer à l’enrichissement de MONSANTO et à la dégradation de notre environnement, libre à elle. Mais sans moi et surtout avec ma plus complète opposition.

dimanche 31 mai 2015

JOURNEE DES INVESTISSEURS

Il est des initiatives étonnantes, à Vierzon. Des initiatives de nos élus. Je ne vais pas les en blâmer, pour une fois qu’ils ont une idée pour développer l’emploi, mais tout de même...
 

Photo du Berry Républicain
Reprenons les faits. Il y a plus d’un an, lors du premier mandat SANDRIER-SANSU (ou SANSU-SANDRIER, comme il vous plaira), un élu de la majorité suggère d’organiser une journée de découverte et de promotion de notre ville aux investisseurs éventuels. Bien que l’idée ne soit pas nouvelle en France, elle l’est à Vierzon puisque ni les communistes d’avant et d’aujourd’hui et ni les rousseauistes de toujours n’en avaient organisé auparavant. Une fois la suggestion décidée, votée, budgétisée, il ne reste plus qu’à trouver les “invités”. L’objectif était d’en remplir un autobus. De cinquante places. Et ça n’a pas été l’étape la plus facile à réaliser, semble-t-il...

Sur la cinquantaine, plus de la moitié était des élus locaux (président, vice-présidents, maires, adjoints au maire, ...) ou des chargés de mission appointés (des SEM et d’autres organisations utilisatrices de subventions, directes ou indirectes, aux résultats peu concluants jusqu’ici). L’autre moitié était composée de chefs d’entreprises, également locaux, et de quelques “investisseurs” réels ou supposés. Souvent des créateurs d’entreprise en devenir ou des rédacteurs de SIRET (contrairement à ce que l’on pense, c’est très facile et peu coûteux de créer une entreprise en France : un SIRET est une entreprise ; maintenant, de là à ce qu’elle ait une activité, qu’elle crée au moins un emploi, avec salaire et cotisations sociales et qu’elle perdure plus de trois ans est une autre affaire).
 

Le car constitué, on ballade tout ce beau monde pour visiter une entreprise (la SIPEM) et une zone industrielle (des terrains plus ou moins viabilisés sans caravane de “gens du voyage” et sans péripatéticienne ukraino-congolaise) en moins de trois heures. Il s’ensuit un “apéritif déjeunatoire”, soit quelques verres de vin ou de jus de fruits et quelques verrines sans doute très bonnes mais qui n’ont pas rassasiées les convives. Puis une “initiation au golf”. Vous ajoutez quelques discours de quelques élus et la journée est terminée.
 

Sur son efficacité, j’ai des doutes... Franchement, je ne pense pas qu’un petit tour en autobus, une visite d’entreprise, la dégustation d’un verre de vin local et le plaisir de taper dans une balle de golf convaincront n’importe quel investisseur de venir placer plusieurs milliers d’€uros à Vierzon. Un peu plus de professionnalisme ne nuirait pas à l’équipe en place. On en est loin.

mardi 24 mars 2015

MERCI

Merci aux 366 électeurs qui ont voté pour les candidats du MoVie sur les cantons 1 et 2 de Vierzon.

Merci aux 11 232 électeurs qui se sont déplacés pour voter.

Merci aux 412 d’entre eux qui ont voté “blanc”, refusant de choisir parmi les cinq binômes qui leur ont été proposés mais refusant également de s’engager pour proposer d’autres idées, d’autres acteurs.

Merci aux 11 729 abstentionnistes qui, par paresse, par choix, par oubli d’une casserole sur le gaz, par excuse d’un repas familial à l’autre bout de la France, par simple oubli, par révolte contre la démocratie, par nostalgie pour la royauté, par... (liste non exhaustive) nous donnent à choisir, pour le prochain tour, entre leurs choix du premier tour ou entre les deux listes les plus éloignées, par idéologie, du concept même de démocratie. Qu’ils n’aient jamais à le regretter...
 

Les candidats du MoVie, fidèles à leurs convictions de liberté, ne se considérant en aucune façon “propriétaires” des voix de leurs électeurs, ne donnent aucune consigne de vote, certains que ces derniers choisiront ce qui leur semble le plus juste.
 

Bonne chance à ceux qui seront élus dimanche soir : la tâche ne fera que commencer...

jeudi 19 mars 2015

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR LES TRANSPORTS PUBLICS

1) Arrêt des bus jaunes du 18, désespérément vides, et retour aux bus scolaires normaux.
But : réaliser des économies.
Financement : aucun.
 

2) Etude d’un nouveau réseau structuré et cohérent de transport public départemental, avec la recherche de 2 à 6 allers-retours quotidiens (véhicules non polluants).
But : permettre à chaque administré de se déplacer en utilisant des moyens de transport collectif.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et participation des communes au travers des taxes communales de T.T.U.
 

FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

mercredi 18 mars 2015

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR LE TOURISME

1) Développement d’une piste cyclable suivant le canal de Berry, de Tours au pont du Guétin, reliant le parcours de la “Loire à vélo”.
Buts : développement d’un tourisme de proximité, développement d’un tourisme écologique.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

2) Développement de pistes cyclables suivant les voies ferrées désaffectées.
Buts : développement d’un tourisme de proximité, développement d’un tourisme écologique.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

3) Aide au développement de structures hôtelières ou/et de restauration de proximité sous formes de subventions, avec contrat d’engagement et de dédommagement en cas de non respect des règles de droit et caution hypothécaire.
Buts : maintien et développement du nombre d’entreprises, maintien et développement de l’emploi, maintien et développement du nombre d’habitants, maintien du lien social, maintien du commerce de proximité, maintien de la vie.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, allègements de charges départementales et exonérations de taxes départementales.
 

4) Promotion de nuitées et week-end en Berry, en particulier sur le Cher, sur Paris et sa région.
But : développement du tourisme de proximité.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR LES SPORTS

1) Accueil de tous les niveaux (classes de débutants, de poussins, de benjamins, de minimes, …) sous réserves d’avoir de la demande et un club régulièrement constitué.
But : permettre le développement des pratiques sportives et de leurs valeurs par l’aide matérielle.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

2) Démonstrations dans des classes primaires et de collège.
Buts : faire la promotion du sport, de ses valeurs, permettre la découverte des pratiques, motiver les enfants et les adolescents à faire du sport, lutter contre les méfaits du manque d’activité.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

3) Accueil des séniors (même droits à l’utilisation des structures et à l’encadrement).
Buts : faire la promotion du sport, de ses valeurs, permettre la découverte des pratiques, motiver les séniors à faire du sport, lutter contre les méfaits du manque d’activité.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

mardi 17 mars 2015

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR LA CULTURE

1) Accueil de tous les niveaux, des jeunes aux séniors, des débutants aux confirmés sous réserves d’avoir de la demande et une association régulièrement constituée.
But : permettre le développement des pratiques culturelles et de leurs valeurs par l’aide matérielle.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

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2) Démonstrations dans des classes primaires et de collège.
Buts : faire la promotion de la culture, de ses valeurs, permettre la découverte des pratiques, motiver les enfants et les adolescents à exercer une passion.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

3) Accueil des séniors (même droits à l’utilisation des structures et à l’encadrement).
Buts : faire la promotion de la culture et de toutes ses formes, de ses valeurs, permettre la découverte des pratiques, motiver les séniors à participer, lutter contre les méfaits de la passivité.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME D'ACTION SOCIALE

1) Maintien des Centres d’Information et d’Orientation.
Buts : permettre à tout collégien mais aussi à tout lycéen, voire adulte, à s’orienter, aux premiers à ne pas quitter le cursus scolaire sans formation, sans diplôme.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

2) Mise en place d’un service dynamique de conseillers à l’emploi, en partenariat avec Pôle Emploi, les Missions Locales et les agences de travail temporaire afin de favoriser le retour à l’emploi.
Nota : assistants sociaux, formateurs, commerciaux, …
But : permettre l’entrée ou le retour à l’emploi des bénéficiaires du R.S.A.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

3) Bilans de compétence, formations au retour à la vie sociale et active (respect de soi, respect des autres, formations techniques, …), accompagnement vers l’emploi (C.V., présentation, ciblage des offres, job coaching, …).
But : permettre l’entrée ou le retour à l’emploi des bénéficiaires du R.S.A.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

4) Rationalisation et optimisation du R.S.A.
But : permettre l’entrée ou le retour à l’emploi des bénéficiaires du R.S.A.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

lundi 16 mars 2015

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR LES JEUNES ET LA FORMATION

1) Développement des formations des assistantes maternelles.
Buts : maintenir et développer en compétences le métier d’assistante maternelle.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.

 
2) Création de haltes-garderies et de maisons d’accueil avant et après cours ouvertes au public de 7h à 19h30, avec aide aux devoirs, en lien avec chaque école maternelle ou primaire, en partenariat avec les communes.
Buts : permettre le développement de l’emploi en facilitant la garde des enfants, assurer le suivi scolaire des enfants et adolescents.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et cotisations des bénéficiaires au prorata des revenus de chacun et reversements de l’Etat.
 

3) Revaloriser les seuils d’obtention des bourses d’études, avec instauration d’un barème dégressif.
But : favoriser l’ascenseur social qu’est l’éducation par le soutien financier aux familles.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.

 
4) Favoriser les échanges entre les entreprises, les métiers et les écoles (1 h / semaine).
Buts : lutter contre l’exclusion scolaire sans formation, favoriser les motivations par la passion.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, participations des syndicats professionnels (mise à disposition d’intervenants).
 

5) Développement des classes de 3ème D.P.6., extension à la 4ème.
Buts : lutter contre l’exclusion scolaire sans formation, favoriser les motivations par la passion.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, participations des syndicats professionnels (mise à disposition d’intervenants).
 

6) Création et développement des Centres de Formation pour Apprentis.
Buts : lutter contre l’exclusion scolaire sans formation, favoriser les motivations par la passion.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, participations des syndicats professionnels (mise à disposition d’intervenants).
 

7) Développer l’emploi de santé scolaire (soins, préventions des maladies, notamment sexuellement transmissibles, préventions psychologiques).
But : lutter contre les maladies et leurs coûts par la prévention.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, participation des syndicats professionnels de santé (mise à disposition d’intervenants médecins, infirmiers, personnels de laboratoires, …).


8) Création et intégration de réunions thématiques mensuelles portant sur la vie quotidienne et la citoyenneté (type : “Femmes battues”, “Drogues”, “Prévention routière”…),
But : lutter contre ses fléaux de santé et sociaux par la prévention.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et participation des associations de prévention, volontaires ou/et bénéficiaires de subventions publiques.
 

9) Participation à toute forme d’enseignement susceptible de maintenir et de développer l’emploi, particulièrement les formations intéressant les ZOnes de Compétitivité EConomiques Orientées (ZO.C.EC.O.).
Buts : maintien ou/et création d’une vie étudiante, maintien et développement du nombre d’entreprises, maintien et développement de l’emploi, maintien et développement du nombre d’habitants, maintien du lien social, maintien du commerce de proximité, maintien de la vie.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, subventions régionales et d’Etat.

 
10) Maintien et développement des A.F.P.A., orientant les formations vers le maintien de l’emploi utiles aux habitants du Cher (B.T.P., services, ...) et celles répondant aux ZOnes de Compétitivité EConomiques Orientées (ZO.C.EC.O.).
Buts : maintien ou/et création d’une vie étudiante, maintien et développement du nombre d’entreprises, maintien et développement de l’emploi, maintien et développement du nombre d’habitants, maintien du lien social, maintien du commerce de proximité, maintien de la vie.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, subventions régionales et d’Etat.

 
FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

DEPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR L'ENVIRONNEMENT, LE DÉVELOPPEMENT DURABLE & L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

1) Isolation complète générale de tous les bâtiments appartenant au Conseil Général avec pour objectif de passer à des bâtiments passifs après audit du patrimoine foncier (rationalisation et optimisation du patrimoine).
Buts : participer à l’effort écologique nécessaire de tous, réaliser, à terme, des économies.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

2) Passage à des énergies alternatives de tous les bâtiments du Conseil Général.
Buts : participer à l’effort écologique nécessaire de tous, réaliser, à terme, des économies.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

3) Déchets ménagers et industriels : tri sélectif complet des déchets, réduisant au minimum les reliquats non recyclables, n’oubliant pas que cette obligation est du ressort des communes ou des communautés de communes.
Buts : participer à l’effort écologique nécessaire de tous, réaliser, à terme, des économies.
Financement : part de la collecte fiscale départementale allouée.
 

4) Intégration des pylônes, châteaux d’eau et autres infrastructures publiques dans le paysage.
But : lutter contre la pollution visuelle.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

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5) Poursuite de l’aménagement de la couverture haut débit, sous forme de fibres optiques et de bornes WiFi.
Buts : permettre le développement d’entreprise sur tout le territoire, permettre le développement de l’accès à la culture et à l’information partout et rapidement.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et taxe départementale sur les moyens de communication au travers des frais d’abonnement.
Nota : cette initiative du Conseil Général cessera une fois l’intégralité du territoire couverte.
 

6) Couvrir l’intégralité du territoire en matière de téléphonie mobile (plus de zones d’ombres).
Buts : permettre le développement d’entreprise sur tout le territoire, permettre le développement de l’accès à la communication partout et rapidement.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et taxe départementale sur les moyens de communication au travers des frais d’abonnement.
Nota : cette initiative du Conseil Général cessera une fois l’intégralité du territoire couverte.
 

7) Création de pistes cyclables séparées des routes et/ou création de routes spécifiques et/ou attribution de routes réservées aux piétons et aux cyclistes dans le cadre d’un plan de maillage départemental.
Une règle : chaque route refaite se devra d’être accompagnée d’une piste cyclable.
Buts : permettre le développement de moyens de transport non polluant et permettre le développement d’un tourisme écologique.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et participation des communes et/ou des communautés de communes ou d’agglomération.

 
FINANCES ET IMPÔTS.

 
A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

dimanche 15 mars 2015

DÉPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR LE HANDICAP ET LES PERSONNES ÂGEES

1) Favoriser le maintien à domicile de toutes les personnes handicapées en perte d’autonomie et le demandant (aménagement de locaux privés, matériels personnels, aide à domicile, surveillance électronique et téléphonique, avec un centre d’appel 24/24), en partenariat avec les associations responsables.
Buts : maintien du nombre d’habitants, maintien du lien social, maintien du commerce de proximité, maintien de la vie.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et cotisations des bénéficiaires au prorata des revenus de chacun et reversements de l’Etat (CAF et services assimilés).
 

2) Développement des structures d’accueil de jour des handicapés peu ou pas autonomes.
Buts : aide aux familles, maintien du lien social, maintien de la vie.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et cotisations des pensionnaires au prorata des revenus de chacun et reversements de l’Etat.
 

3) Favoriser le maintien dans les communes rurales des personnes âgées en perte d’autonomie et le demandant, avec la création dans chaque municipalité rurale d’une maison d’accueil, structure intermédiaire entre le domicile individuel privé et la maison de retraite, en charge également des services relevant du Conseil Général intervenant sur la commune.
Buts : maintien du nombre d’habitants, maintien du lien social, maintien du commerce de proximité, maintien de la vie.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, cotisations des pensionnaires au prorata des revenus de chacun et reversements de l’Etat.
 

4) Mise aux normes de TOUS les services publics aux obligations du handicap et d’accueil des personnes âgées, mise aux normes de TOUTES les voies publiques sur ces obligations.
Buts : faire en sorte d’atténuer les difficultés des handicapés et des personnes âgées.
Financement : part de la collecte fiscale départementale et aide de l’Etat.
 

FINANCES ET IMPÔTS.
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

DÉPARTEMENTALES 2015 : NOTRE PROGRAMME POUR L’EMPLOI ET L’ECONOMIE

1) Création d’un service dynamique (guichet unique) d’aide à la création et à l’accompagnement d’entreprises, service réservé aux seuls entrepreneurs (nota : un entrepreneur se caractérise par son investissement personnel et financier dans son projet, dans son entreprise), avec recours à des experts retraités bénévoles (parrainage) et à des cadres au chômage volontaires, susceptibles par ce biais de se créer leur propre emploi (contrat ETRIER par exemple).
Buts : la création d’emplois, directs ou indirects, la diminution du chômage et la création de richesses privées, génératrices de richesses publiques.
Financement : part de la collecte fiscale départementale.
 

2) Création d’une société de capital risque destinée à la prise de participations, à durée limitée, dans des entreprises implantées dans le Cher ou désireuses de le faire (nota : apport de capital et de conseils, comme dans toute entreprise, avec pacte d’actionnaires), en création, en développement ou en sauvegarde.
Buts : la création d’emplois, directs ou indirects, la diminution du chômage et la création de richesses privées, génératrices de richesses publiques.
Financement : part de la collecte fiscale départementale, gains des précédents placements, investissements privés d’autres collectivités locales, d’entreprises publiques ou privées et de particuliers dans la limite de 49% des parts.
 

3) Création de ZOnes de Compétitivité EConomiques Orientées (ZO.C.EC.O.) vers un secteur d’activité, avec entreprises et formations scolaires ou/et pour adultes (ex. : pôle économique de mécanique générale pour Vierzon, avec l’aide des entreprises locales, du lycée Henri Brisson et de l’I.U.M.M.).
But : cibler la création d’entreprises dans des secteurs qui seront plus aisées parce que les pôles de formation existent et d’autres entreprises concurrentes sur les métiers existent.
Financement : allègements de charges départementales.
 

FINANCES ET IMPÔTS
 

A court terme, l’objectif est le maintien, pour les deux premières années, des taux d’imposition départementaux, puis de les baisser, même symboliquement.

A moyen terme, l’objectif est de placer le département du Cher dans la moyenne des départements en terme d’imposition.

dimanche 8 mars 2015

COLIS POSTAL

Intéressant article de presse paru dans le Berry Républicain du 5 mars dernier portant sur une institution française qu’est La Poste, un monument de la République qui a du plomb dans l’aile et qui ressemble de plus en plus au défunt paquebot qu’était “Le France”. Un navire qu’a chanté Michel SARDOU et que je plagierai par : “Ne m’appelez plus jamais La Poste, la France elle m’a laissé tombé...”...
 

Les causes ont multiples. L’économie et le progrès, avec le développement des transports individuels, la centralisation du travail loin des villages, le développement d’internet, ... Et demain, ça sera pire avec la dématérialisation des documents. Les services fiscaux ont ouvert la brèche, les entreprises suivent (essayez d’avoir une facture de téléphone mobile en version papier, ça tient de plus en plus de la gageure). La Poste essaie de lutter, se créant un nouveau métier : la banque. Pourquoi pas ? Mais ce que je réprouve le plus, c’est sans doute le silence des élus politiques, voire leur hypocrisie : comment refuser la fermeture d’un bureau de poste, voire envisager l’ouverture d’une agence postale dans son village dans les médias locaux et ne pas proposer, surtout au Parlement, une nouvelle mission à La Poste ? Des preuves : je vais vous en donner une mais il en est plein d’autres. Ainsi, sur plus de 200 communes dans le Cher, notre département n’en compte plus que 51 avec un bureau de poste et 89 avec une agence postale, c’est-à-dire, avec les impôts des habitants de la commune. Un chiffre qui risque de baisser avec celle des dotations de l’Etat. Or, un des sénateurs du Cher, M. POINTEREAU (qu’il assume ses choix !) ne fait rien pour contrer la fermeture prochaine du bureau postal de Lury-sur-Arnon, son futur ancien canton, sans même ouvrir une agence postale dans la commune dont il est maire, Lazenay. Affligeant. Honteux !
 

Photo La Nouvelle République
D’autres missions sont possibles pour La Poste. A mon sens, c’est l’une des institutions républicaines les plus présentes dans chaque commune. Chaque facteur ne devrait pas être là uniquement pour apporter des factures, beaucoup plus rarement des cartes postales, encore plus rarement des lettres d’amour (mon côté “fleur bleue”). Il devrait être là pour apporter de la présence humaine. Pourquoi n’apporterait-il pas du pain ? Des médicaments ? Ne serait-ce que des informations, un peu de chaleur humaine... A réfléchir. Mais vite : les jours de La Poste sont comptés. Cette idée est, pour moi, un des éléments d’une vraie politique d’aménagement du territoire.

lundi 2 mars 2015

SEULES LES MONTAGNES NE SE RENCONTRENT PAS...

“Seules les montagnes ne se rencontrent pas”, dit le proverbe. Et il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. La preuve m’en est fournie par l’intervention d’une élue du conseil communautaire de notre communauté de communes d’il y a un peu plus d’un an.
 

A cette époque, je siégeai encore à la Communauté de Communes de Vierzon-Sologne-Berry, notre communauté, plus exactement celle de M. SANDRIER et de ses amis. Mais c’est le jeu de notre démocratie, où les alliances et les compromissions politiques chassent de toutes les élections la majorité de la population française puisque les abstentionnistes et les partis ou personnalités minoritaires ne sont même pas représentés. Le problème n’est pas qu’ils n’ont pas d’idées, le problème est que l’on ne leur permet pas de s’exprimer. En cela, nos “élus”, pour certains nommés, comme le député de notre circonscription, en jettent certains dans des partis extrêmes et créent une révolution, forcément violente, en devenir. Qui peut changer ça sans bain de sang ? Ceux-là même qui en profitent... Sauf par des personnalités qui ne vivent pas de la politique et un vote salutaire. Pas facile... Et hasardeux...

Ce conseil était, pour une fois, décentralisé à Genouilly. Avec peu d’élus. Le MoVie était présent et les socialistes et les rousseauistes absents. Il faut dire que les sujets n’étaient pas nombreux et, pour la plupart, consensuels. L’un d’entre eux portait sur le tracé du futur et hypothétique TGV. Il a été voté à l’unanimité, moins une voix, venue de la majorité communiste. Cette voix venait d’une élue écolo-bitumeuse... J’ai voté avec la majorité mais aujourd’hui, je le regrette. Son argumentation, pourtant faible et incomplète, ayant soulevé en moi une réflexion qui me fait me compter aujourd’hui parmi les opposants au T.G.V.
 

Pourquoi je suis contre le passage du T.G.V. en Berry ?

En fait, je ne suis pas contre son passage en Berry, je suis contre toute aide financière de notre département à la réalisation de cette ligne de T.G.V. Pourquoi ? Parce que le T.G.V. en Berry n’a d’intérêt que s’il s’arrête en Berry. Et pas une fois par jour, voire moins, mais plusieurs fois. J’avais des doutes avant de voter pour cette motion de soutien mais, peu à peu, je rejoins l’élue écolo-bitumeuse. Surtout aujourd’hui, avec l’irrespect du contrat passé par la S.N.C.F. et les villes de La Rochelle et d’Angoulême. Ces deux cités ont participé au financement de la ligne de T.G.V. Paris-Bordeaux en échange de 11 arrêts journaliers. Elles n’en ont qu’un maximum de 9. Que ça soit justifié ou non, un contrat est un contrat et la S.N.C.F ne respecte pas ses engagements. Il va en résulter une bataille de robes noires (NDLA : les avocats) qui sera longue et coûteuse. Fort de cette expérience, pourquoi cela serait-il différent pour Bourges ou Vierzon ? Je ne le crois pas. Si la S.N.C.F. veut son T.G.V., qu’elle le construise avec son seul argent, par ailleurs déjà le nôtre et depuis longtemps.