lundi 23 septembre 2013

SOUS-PREFECTURE ET SERVICE AU PUBLIC : LA REPONSE DU BERGER A LA BERGERE

Suite à l’article que j’ai écris et publié sur mes blogs le 10 septembre dernier, repris par la presse le 19 suivant, Nicolas SANSU a cru bon d’y répondre. Compte-tenu de son action, si j’étais à sa place, je me tairai. Surtout quand il assène des contre-vérités, pour ne pas utiliser d’autres termes moins… flatteurs. De mon crayon rouge, je vais corriger les erreurs et égarements de Nicolas SANSU :
Ä “Représentant local de la droite UMP-UDI” : où a-t-il lu ça ? Lorsque je m’exprime en politique à Vierzon et sur Vierzon, c’est soit comme président du Mouvement Vierzonnais, soit comme conseiller municipal d’opposition, soit comme conseiller communautaire d’opposition.
Ä Suis-je de la droite ? Quand on n’est pas communiste, surtout à Vierzon, on est forcément de droite. Sur le plan national, comme membre de l’Alliance Centriste, élément de l’UDI, et ancien membre (et candidat) du MODEM, je me place au centre-droit de l’échiquier politique.
Ä “(La droite) voudrait faire oublier que c’est elle qui a mis en place la trop fameuse RGPP” : oui, c’est elle. Mais je n’ai JAMAIS cautionné cette politique. Par contre, Nicolas SANSU l’a fait. En soutenant le gouvernement socialiste. Il est énervant de le voir oublier des choix qu’il a fait !

Maintenant, je suis d’accord avec lui sur l’origine de la suppression de l’accueil de notre gendarmerie, de notre tribunal d’instance et de notre conseil des prud’hommes. Mais je n’ai jamais, une nouvelle fois, partagé cette politique de centralisation sur Bourges. Et demain, ailleurs ?

Je suis également d’accord avec lui sur “la large mobilisation, il ya deux ans, des élus de toutes tendances politiques” pour le maintien de notre sous-préfecture. Sauf que, si j’étais à sa place, je ne me contenterai pas d’une pétition et d’un partage de tâches préfectorales entre Bourges et Vierzon au détriment de la seconde. J’ai bien peur que le sort de notre sous-préfecture soit déjà scellé, à l’échéance de septembre 2014. Ou 2015. Avec la bénédiction de Nicolas SANSU.

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