mardi 5 novembre 2013

L'URBANISME SELON NICOLAS SANSU

Nicolas SANSU veut-il vraiment solutionner le problème que constitue l’ilot immobilier compris entre les rues Armand Brunet et Maurice Rollinat, improprement appelé “ilot Gifi” ? On peut penser que non
 
Quel est le problème ?
La rue Armand Brunet relie l’Hôtel de Ville, surtout la route de Bourges, à la rue principale, l’avenue de la République. Etroite, elle a pour principaux inconvénients d’avoir des trottoirs qui le sont tout autant, d’être sombre et polluée, surtout quand des camions, pourtant interdits de transit, l’empruntent, et surtout dangereuse pour ses piétons. Evidemment, les commerces qui s’y trouvent peinent à s’y développer.

Une ou des solutions ?
Deux projets urbanistiques concernent ce lieu :
Ä Racheter l’ensemble de l’ilot, avec la maison abritant le local de l’opposition, tout raser et en faire une place. Surtout sans trop creuser, la plupart des historiens locaux étant sûrs de trouver des vestiges qui risquent de paralyser le chantier pendant un temps de toute façon trop long.
Ä Racheter quelques bâtisses du sud de la rue Maurice Rollinat, les raser, l’élargir et y faire passer le flot de voitures allant vers Bourges pendant que la rue Armand Brunet, transformée à sens unique, le fait passer dans l’autre sens.
Les deux sont de beaux projets, même si ma préférence va vers le second, ce dernier permettant de mettre en valeur l’architecture commerciale des anciennes Galeries.
 
Mais lequel a choisi Nicolas SANSU ? Nous ne le savons pas… Et que fait-il ? Rien… Périodiquement, on lit quelques soubresauts des projets dans la presse puis, plus rien. Si : des ouvriers refont le trottoir devant le local de l’opposition, promis à la démolition dans les deux cas. Vous refaites quelque chose quand vous voulez le détruire, vous ? Moi pas. Sauf si je n’ai pas l’intention de détruire quoi que ce soit. A mon avis, Nicolas SANSU ne veut rien faire pour le goulot d’étranglement de la rue Armand Brunet. Et il ne fera rien.
 
Vivement mars 2014.

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